aigueblanche
Dispositif sècheresse
Dispositif sècheresse
Suite à la sécheresse exceptionnelle de 2003, les services de l’État se sont organisés pour anticiper et accompagner les situations de tension sur la ressource en eau. La Direction Départementale des Territoires (DDT ), en tant que pilote de la Mission Inter-Service de l’Eau et de la Nature, coordonne les actions de suivi et de gestion de crise.
L’objectif principal de cette gestion consiste à garantir en tout temps une ressource en eau suffisante pour les usages incompressibles au regard de la santé ou de la sécurité (eau potable et défense incendie), tout en maintenant un débit minimal dans les cours d’eau afin d’y préserver la vie aquatique.
Cela passe en particulier par la prise progressive de mesures de restriction visant à limiter la pression de prélèvement sur les milieux aquatiques, avec pour but d’anticiper les situations de tension quantitative.
Les usagers sont donc appelés à maintenir une vigilance particulière afin de limiter leur consommation d’eau et réduire la pression sur les milieux concernés.
Pour toute autre information, consulter le site ci-dessous :
Dernier arrêté préfectoral relatif à la situation de sécheresse
Le Jardin de Tarentaise
Le jardin de Tarentaise
Les coteaux d’Aigueblanche, situés sur l’adret du bassin, constituent un espace intermédiaire entre la ville, en fond de vallée et la haute montagne.
Ce territoire, aux pentes douces et accessibles, a toujours été cultivé par ses habitants.
Entre la basse et la haute Tarentaise, le large et lumineux bassin d’Aigueblanche était alors désigné, à cause de sa fertilité, par le nom de Jardin de la Tarentaise.
Pourtant, ce paysage autrefois façonné par les cultures, les vignes et l’élevage, tend aujourd’hui à s’effacer avec l’abandon progressif des terres agricoles et une mutation des usages de ce territoire. Les coteaux s’enfrichent et n’apparaissent plus comme une entité lisible. La disparition des terres agricoles des coteaux d’Aigueblanche est une problématique paysagère majeure qui résonne à l’échelle de toute la Tarentaise.
C’est pourquoi, la Communauté de Communes des Vallées d’Aigueblanche s’est engagée dans une démarche de valorisation durable : l’idée générale étant de réintroduire de l’activité agricole et arboricole viable, de stopper la croissance de l’enfrichement et d’instaurer des itinéraires pédestres suscitant des envies de promenades comme par exemple «la boucle des 7 hameaux ».
CULTIVONS LE JARDIN DE LA TARENTAISE !
La conduite d’un tel projet apportera une plus-value paysagère au territoire et créera un nouvel espace public au sein duquel exploitants agricoles, habitants des hameaux et de la vallée, pratiquants de pleine nature et visiteurs se partageront espace et ressources pour les faire vivre durablement.
UN PEU D’HISTOIRE…
Les vignes d’Aigueblanche, autrefois très réputées, occupaient la totalité des coteaux. En 1792, pratiquement tout le vignoble appartenait à l’archevêque de Moûtiers. Le raisin était travaillé au Plan du Truy pour être ensuite réparti dans les différents domaines de l’Église.
Au moment du Concordat (1801), l’archevêché fut déplacé à Chambéry et les Savoyards récupérèrent leurs terres : chaque famille avait sa cabane pour ranger ses outils.
En 1876, le phylloxera arriva en Savoie et détruisit en grande partie le vignoble. Il fallut alors replanter, un par un, tous les ceps avec des plans hybrides américains et les regreffer. Mais ce travail était long et minutieux et il fallait le réaliser à l’époque de la fenaison ou des récoltes. Beaucoup utilisèrent alors des plants directs plus rustiques et supportant mieux le climat. En décembre 1902, le Conseil Municipal vota les fonds pour la création du chemin du Moulin et d’une route reliant Grand-Cœur à Aigueblanche (chemin des vignes actuel) pour faciliter le travail.
En 1937, une grande partie des vignobles des Esserieux fut détruite lors de l’éboulement de Roche Platte. Aujourd’hui, la majorité du vignoble est abandonnée.
ENVIRONNEMENT
ENVIRONNEMENT
Les coteaux d’Aigueblanche, situés sur l’adret du bassin, constituent un espace intermédiaire entre la ville, en fond de vallée et la haute montagne.
Ce territoire, aux pentes douces et accessibles, a toujours été cultivé par ses habitants.
Entre la basse et la haute Tarentaise, le large et lumineux bassin d’Aigueblanche était alors désigné, à cause de sa fertilité, par le nom de Jardin de la Tarentaise.
Pourtant, ce paysage autrefois façonné par les cultures, les vignes et l’élevage, tend aujourd’hui à s’effacer avec l’abandon progressif des terres agricoles et une mutation des usages de ce territoire. Les coteaux s’enfrichent et n’apparaissent plus comme une entité lisible. La disparition des terres agricoles des coteaux d’Aigueblanche est une problématique paysagère majeure qui résonne à l’échelle de toute la Tarentaise.
C’est pourquoi, la Communauté de Communes des Vallées d’Aigueblanche s’est engagée dans une démarche de valorisation durable : l’idée générale étant de réintroduire de l’activité agricole et arboricole viable, de stopper la croissance de l’enfrichement et d’instaurer des itinéraires pédestres suscitant des envies de promenades comme par exemple «la boucle des 7 hameaux ».
CULTIVONS LE JARDIN DE LA TARENTAISE !
La conduite d’un tel projet apportera une plus-value paysagère au territoire et créera un nouvel espace public au sein duquel exploitants agricoles, habitants des hameaux et de la vallée, pratiquants de pleine nature et visiteurs se partageront espace et ressources pour les faire vivre durablement.
UN PEU D’HISTOIRE…
Les vignes d’Aigueblanche, autrefois très réputées, occupaient la totalité des coteaux. En 1792, pratiquement tout le vignoble appartenait à l’archevêque de Moûtiers. Le raisin était travaillé au Plan du Truy pour être ensuite réparti dans les différents domaines de l’Église.
Au moment du Concordat (1801), l’archevêché fut déplacé à Chambéry et les Savoyards récupérèrent leurs terres : chaque famille avait sa cabane pour ranger ses outils.
En 1876, le phylloxera arriva en Savoie et détruisit en grande partie le vignoble. Il fallut alors replanter, un par un, tous les ceps avec des plans hybrides américains et les regreffer. Mais ce travail était long et minutieux et il fallait le réaliser à l’époque de la fenaison ou des récoltes. Beaucoup utilisèrent alors des plants directs plus rustiques et supportant mieux le climat. En décembre 1902, le Conseil Municipal vota les fonds pour la création du chemin du Moulin et d’une route reliant Grand-Cœur à Aigueblanche (chemin des vignes actuel) pour faciliter le travail.
En 1937, une grande partie des vignobles des Esserieux fut détruite lors de l’éboulement de Roche Platte. Aujourd’hui, la majorité du vignoble est abandonnée.
LE FLEURISSEMENT 🌼
Grand-Aigueblanche est une commune où il fait bon vivre. Les habitants bénéficient d’un cadre de vie agréable, tout en ayant à proximité des services et des commerces, sans oublier la promenade de la cascade du Morel, les chemins dans les forêts environnantes et les nombreux sentiers balisés.
Le fleurissement est une bonne manière de parfaire cet environnement et de le rendre d’autant plus accueillant.
Fleurir autrement
Chaque année la terre se réchauffe un peu plus et le soleil amenuise nos ressources en eau. Avec la sécheresse il devient évident de jardiner autrement. Sans doute devra-t-on, à l’avenir, se tourner vers des plantes vivaces, des plantes de terrain sec plus résistantes et plus faciles à entretenir.
Le concours communal des maisons fleuries et jardins potagers
Un concours communal des maisons fleuries et jardins potagers a été mis en place en 2020 sur la commune de Grand-Aigueblanche.
C’est un concours convivial qui a pour but d’encourager et de valoriser les initiatives de fleurissement de chacun d’entre nous dans le but de contribuer à l’amélioration de notre cadre de vie et à l’embellissement de notre commune.
Chaque maison fleurie est unique. Elle est l’image de notre histoire et de notre créativité individuelle.
Fleurir sa maison, son balcon, son pas-de-porte, son gîte, son camping, son entreprise est un moment convivial, un moment de plaisir et peut-être la joie d’être récompensé autour d’un verre de l’amitié.
Les heureux gagnants de ce concours communal remporteront des prix allant de 20 € à 60 €*
De plus, les participants ayant obtenu un prix dans chacune des catégories seront désignés aux responsables du jury départemental du « concours des villes, villages et maisons fleuris » afin de participer à ce concours départemental.
Les heureux gagnants du concours départemental remporteront également un prix.
* Voir règlement du concours ci-dessous
RÉSULTATS CONCOURS 2024
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2024 pour les participants, personnes inscrites
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2024 Prix "Coup de coeur" (personnes non inscrites)
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2024 Hors concours
RÉSULTATS DU CONCOURS DÉPARTEMENTAL 2024
BRAVO à toutes et tous. A l'année prochaine !
AFFICHE DU CONCOURS 2024
BULLETIN INSCRIPTION CONCOURS 2024
RÈGLEMENT DU CONCOURS COMMUNAL 2024
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2023
RÉSULTATS DU CONCOURS DÉPARTEMENTAL 2023
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2022
RÉSULTATS DU CONCOURS DÉPARTEMENTAL 2022
Suite à la sécheresse exceptionnelle de 2003, les services de l’État se sont organisés pour anticiper et accompagner les situations de tension sur la ressource en eau. La Direction Départementale des Territoires (DDT ), en tant que pilote de la Mission Inter-Service de l’Eau et de la Nature, coordonne les actions de suivi et de gestion de crise.
L’objectif principal de cette gestion consiste à garantir en tout temps une ressource en eau suffisante pour les usages incompressibles au regard de la santé ou de la sécurité (eau potable et défense incendie), tout en maintenant un débit minimal dans les cours d’eau afin d’y préserver la vie aquatique.
Cela passe en particulier par la prise progressive de mesures de restriction visant à limiter la pression de prélèvement sur les milieux aquatiques, avec pour but d’anticiper les situations de tension quantitative.
Les usagers sont donc appelés à maintenir une vigilance particulière afin de limiter leur consommation d’eau et réduire la pression sur les milieux concernés.
Pour toute autre information, consulter le site ci-dessous :
Dernier arrêté préfectoral relatif à la situation de sécheresse
Définition des marchés publics
Marchés publics : ce qu’il faut savoir !
Les collectivités territoriales ne peuvent pas effectuer leurs achats dans les mêmes conditions que les acteurs privés. Parce qu'elles utilisent des deniers publics, elles sont tenues de respecter un certain nombre de règles et de procédures. Elles doivent passer des marchés publics.
Un marché public est un contrat conclu à titre onéreux, avec des opérateurs économiques publics ou privés, pour répondre à un besoin en matière de travaux, fournitures ou services.
Les catégories de marchés publics
· les marchés de travaux ont pour objet la réalisation de tous travaux de bâtiment ou de génie civil.
· les marchés de fournitures ont pour objet l'achat, la location ou la location-vente de produits ou matériels.
· les marchés de services ont pour objet la réalisation de prestations de services divers (nettoyage, maintenance, formation...) et prestations intellectuelles (maîtrise d'œuvre en bâtiments, en infrastructure, études ...).
Les grands principes applicables aux marchés publics
Quel que soit leur montant, les marchés publics respectent les principes de liberté d'accès à la commande publique, d'égalité de traitement des candidats et de transparence des procédures. Ces principes permettent d'assurer l'efficacité de la commande publique et la bonne utilisation des deniers publics.
Engagements pris par Grand-Aigueblanche
La commune de Grand-Aigueblanche veille à ce que ses achats se fassent dans le plus grand respect des principes énoncés ci-dessus, notamment par - une définition préalable et précise des besoins
- le respect des obligations de publicité et de mise en concurrence. Les procédures doivent permettre à la concurrence de s'exercer le plus librement possible.
- le choix, en toute transparence, de l'offre économiquement la plus avantageuse.
Page 28 sur 46
En 1 Clic
ACTUALITÉS
-
𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗟𝗮 𝗟é𝗰𝗵è𝗿𝗲136 place de la gare, Notre-Dame-de-Briançon (73260 La Léchère)04 79 09 63 77
-
Ligne VALLEE BUS 🚌 De la gare de Notre-Dame-de-Briançon à Valmorel en passant par La Léchère et Grand-Aigueblanche, profitez de ce moyen de transport mis à disposition par la CCVA.
Des prix flexibles à la journée, à la semaine ou à la saison, le plus économique ! Infos arrêts ligne, horaires et billetterie > ICI